La vitesse maximale sur le périphérique parisien est passée de 70 à 50 km/h. L'un des arguments avancés était celui de limiter la pollution. Pourtant, c'est loin d'être aussi simple. Les émissions de CO2 et de particules fines sont plus importantes à petite vitesse pour les voitures thermiques. Alors l'argument est-il fallacieux? Audrey Racine a cherché à vérifier.